Commettez-vous cette erreur de communication ?


Nous communiquons tous les jours, avec plus ou moins de réussite, et en créant des relations plus ou moins de qualité avec nos interlocuteurs.

Qu’est-ce qui nous appartient ? Et qu’est-ce qui appartient à l’autre ?

Savez-vous faire le distingo ?

Je vous laisse répondre par vous-même…

Quel est mon rôle dans la relation ? Qu’est-ce qui est en mon pouvoir pour améliorer une relation ? Ça, il est important que je le sache, pour pouvoir agir efficacement.

Car après tout, ce qui appartient à l’autre, je ne peux pas le changer (et donc inutile de stresser pour ça).

En faisant bien la distinction, je gagne :

–          des relations plus positives avec mon entourage

–          de la sérénité

–          de la clarté (moins de quiproquos)

–          de l’efficacité (pas besoin de répéter les choses plusieurs fois)

Alors, vous êtes preneur ?

Ecoutez la suite…

1. A priori, tout le monde est d’accord pour convenir que je suis responsable de l’info que j’envoie

 

 

 

2. Et que mon interlocuteur est responsable de l’info qu’il m’envoie.

 

 

 

 

 

Jusque là, rien de neuf sous le soleil ! Tout le monde est à peu près d’accord.

C’est exact, et très incomplet.

Cette lecture simple peut entraîner une escalade sur le mode « c’est toi qui a commencé ».

On commence par tuer un archiduc… et on finit en guerre mondiale !

 

Qu’est-ce qu’il manque comme information pour désamorcer une tension, un conflit ?

 

L’erreur à ne pas commettre

Quelle est cette erreur si répandue qui entraîne l’escalade ?

Et bien, même si j’ai tendance à l’oublier ou à ne pas le voir, je suis également responsable de « comment je perçois l’info que l’autre m’envoie »

 

 

 

 

 

J’ai mon filtre, ma façon de voir les choses, ma subjectivité !

Et c’est la même chose pour mon interlocuteur.

Des doutes ?

Regardez dans votre quotidien :

Vous est-il déjà arrivé de réagir de manière positive à la remarque d’un collègue (alors que d’habitude vous l’auriez pris pour une attaque personnelle). Vous vous dites : « Tiens, d’habitude, j’aurais réagi violemment, il a de la chance que je sois de bonne humeur ! »…

A moins que ce ne soit l’inverse ?

Un collègue vous fait une remarque anodine, vous le prenez pour une attaque personnelle, et vous lui répondez de façon agressive.

Vous avez déjà vécu l’une des deux situations ?

Bienvenu au club, moi aussi.

Notre état d’esprit, notre humeur au moment d’engager la relation, cela nous appartient ! (personne ne peut le gérer à notre place).

Et cet état d’esprit, va conditionner le type d’information que nous allons renvoyer. Un soupir ou un sourire ? une invitation ou une agression ?

En vous exerçant à distinguer ce qui vous appartient de ce qui appartient à l’autre, vous allez peu à peu créer et entretenir des relations positives et sereines.

Cet article vous fait penser à une situation déjà vécue ? Partagez-la, laissez un commentaire ci-dessous !

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